Une fois sur terre il me fallait trouver le but de ma mission. Il semblerait que cet arrancar n’ait pas attaqué les humains de cette zone, ni même avoir commis la moindre infraction. Alors pourquoi être venu ici … cela restait un mystère. La zone était assez grande, seule, cela allait me prendre un temps fou, d’autant plus que l’adversaire n’a semble t’il aucune intention de se montrer. La ruse était donc de mise.
S’il se cache, il a du prévoir un endroit où il pourra observer un maximum de terrain, sans néanmoins attirer les soupçons.
Je laissais mon regard errer sur la terre aride et desséchée quand je me rendis compte que mes yeux passais sans s’arrêter sur un petit monticule de terre perdu au milieu des montagnes. Je décidais de tenter ma chance, il fallait bien commencer quelque part. la route était totalement abandonnée, personne ne passait plus par ici depuis longtemps, quelque chose me dit que j’étais sur la bonne voie.
Ah lala qu’est ce qu’il peut faire chaud ici
J’étais trempée, et ma respiration se faisait lourde, même s’il avait l’air petit au milieu des autres, le monticule était aussi imposant qu’une montagne. L’endroit était vraiment bien choisit, isolé, presque comme si il était destiné à fatiguer l’ennemi pour mieux l’achever. J’eus soudain un très mauvais pressentiment, je me retournais pour retrouver une surface plane et il était là, me guettant avec un sourire narquois. J’étais tombée dans son piège.
Chante, Hakuron ! je tentais de le prendre de vitesse mais il devait m’observer depuis un moment car il para mon attaque sans difficulté, j’étais en très mauvaise posture et les renforts allait être long.
* j’ai besoin d’aide, très vite.*
Déjà il était sur moi, sa force était très nettement supérieur à la mienne, c’est à peine si je pouvais parer ses coup. Limitée à vingt pour cent, je ne pourrais rien faire. L’offensive était sous son contrôle, mon problème était de pouvoir tenir jusqu’à ce que quelqu’un vienne m’aider.
Je fus projetée contre un rocher et me suis réveillée attachée à un autre. La situation se dégradait de minute en minute.