Le retour au source du mal

Je marchais seul dans les montagnes en direction d'un sommet où était perché un laboratoire génétique
Je les trouverais et me vengerer... coûte que coûte

Je vis le batiment

Ces humains ne sont que des parasites... Je vais leur faire payer le prix fort...

Je gravis les marches me séparant du batiment quand soudain je vis deux hollow créés artificiellement par la main de la race parasitaire.
Je pris Masamune puis la pointa vers un des hollows.

Vous ne souffrirez pas le moindre du monde...

Deux mouvements sufirent à décapiter les 2 créatures.
Je continuais mon ascension vers la source de mon malheurs.
J'arriva à la porte blindé du domaine marqué du sigle de la socièté.
J'entendis un bruit sourd puis m'apperçut qu'un rocher me tomber dessus.

Reaitsu Suraitsu
Le roc fut pulvérisé.
Je cherchais un moyen d'entrer quand je vis un régiment de garde en train d'effectuer leur tour de garde.
-Eh là, cette zone est interdit au public! veuillez redescendre!
-Je me rend compte qu'on ma déjà oublié... je viens revoir mes "parents"...

Ils tentèrent de me tirer dessus mais je pus passer derrière un tireur et le trancher dans un bruit métalique résonant mortellement au milieu des coup de feu.
Je fis un léger mouvement de bras puis bras d'un deuxième tireur tomba au sol puis fut rejoint pas le buste de son propriètaire.
Les deux derniers furent à court de munitions.
Je les tranchèrent puis continua à chercher une entrée possible.
Je vis une fenêtre en hauteur.
Je lanca Masamune sur le mur puis m'élança vers elle pour m'en servir de barres afin d'atteindre l'ouverture tout en reprenant mon zanpakuto.
Je rentrais dans le batîment

Il faisait sombre et la seule lumière résidé dans le rayon qui découpait les tenêbres des lieux. Une porte blindé se présentait face à moi. Elle possedait une minuscule fenêtre par laquelle on pouvait aperçevoir un laboratoire animé par une équipe de chercheurs.

C'est trop facile de les décimer... Essayons de trouver le chef de cette compagnie...

Des bruits de pas résonnèrent dans le couloir.
3 gardes armés d'épées se mirent dans mon champ de vision

Des SOLDATS... Je les connais... Il ne peuvent pas faire le poids!

Je profita de l'effet de surprise pour les tuer d'un coup

Surudoi senpuu

Les 3 gardes tombèrent inertes sur le dallage de métal dans un bruit sourd

Une alarme se fit retentir dans les couloirs et les lumières rouges tournèrent faisant rougir les couloirs déjà écarlates du sang de mes piteux adversaires.

-INTRUS DANGEUREUX DANS L'ENCEINTE DU BATIMENT!!! CE N'EST PAS UN EXERCICE!!!

Non... Leur boss va m'échapper... Je dois faire vite!

Je courais le plus vite que je pouvais.
5 gardes me coupèrent le chemin.

HALTE OU NOUS FAISONS FEU!!!

Je contuinuais à courir.

Sokudo

Je trancha 3 gardes avant qu'ils n'avairent pu réagir.
Je me mis derrière un garde puis le transperça pour m'een faire un bouclier humain en attendant d'entendre le cliquetit synonyme de mort pour mon adversaire.
Je le trancha lui aussi

Ils me ralentissent... Je ne peux pas me permettre de perdre sa trace!

Je courrais dans les couloirs quand un son d'hélices se fis entendre comme le glas de ma mission
Merde... Je dois chercher les hauteurs!

Je pris tout les escaliers montant puis j'arriva sur le toit et héliport personnel du Chef
Il y avait 15 hommes autour d'un homme qui courrait tâte baissé

-C'est fini le jeu du chat et de la souris! Paye pour ma naissance!!! Sokudo!!!
Je me mis à le charger tout en faisant danser ma lame dans les airs tel un ballet sanglant et sifflant
Je fus à porter de coup quand un homme en costume cravate me barra le chemin et me frappa de sa matraque élèctrifiée.
Je te dis de te casser mais tu ne comprendrais pas!
Je le tua puis essaya de retrouver ma cible

Elle était dans l'hélico et commençait à s'envoler avec mes espoir de vengence.

J'entendis les balles siffler autour de moi.
Qu'importe le reste sinon des obstacles à franchir ensuite...

Je sauta dans l'hélico puis je pus enfin assassiner ma victime
Je me retourna vers le pilote puis le tua.
Je m'éloigna du mieux que je pus vers une plaine loin des montagnes.

Enfin fini...